Nous ne pourrons avancer que quand se mettra en place une politique privilégiant le prisme économique à celui politicien et les visions nouvelles à celles archaïques des querelles partisanes.

Nous avons besoin d’une véritable rupture dans le mode de gouverner pour sortir du marasme où nous plongeons et cette rupture ne peut être de la nature de ce qui l’a causée.

Il n’est de salut que par une rupture économique reléguant les politiciens et leur langue de bois au rang d’accessoires.