Nous faisons d’eux des symboles. Les politiciens les récupèrent. Ils font d’eux des slogans. Nous suivons le mouvement.

Le mouvement s’arrête. Nous voyons mourir, de nouveau, nos héros devenus martyrs, puis symboles puis slogans, d’une politique sans éthique et d’un peuple engagé au gré des tendances.